En effet, si nous revenons aux origines de l’homme (homo sapiens), les conditions de vie naturelles de l’homme sont celles des conditions imprévues et des obstacles qu’il faut surmonter pour survivre.
Nous ne sommes pas faits pour vivre dans un cocoon confortable et sûr de façon permanente…
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La peur et le stress sont des signaux naturels qui placent notre corps et notrecerveau dans un mode de survie .
Grâce à une poussée d’adrénaline, ces sentiments préparent notre corps à la fuite ou au combat .
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Plan de l'article
L’ adrénaline dans notre mode de vie occidental
Aujourd’hui, en dehors d’une situation exceptionnelle, beaucoup d’entre nous ne ressentent souvent pas cette poussée positive de l’adrénaline.
Notre cerveau ne devrait presque jamais jeter des signaux de aide (bon stress) quand nous avons besoin de chercher quoi nourrir notre corps , quoi nous protéger contre les dangers, habiller assez pour ne pas être froid, nous permettre de dormir, nous faire aimer les autres pour obtenir leur protection de groupe. (#appartenance)
Nous ne devons pas continuer à faire beaucoup de progrès pour répondre à nos besoins vitaux. C’est un confort sûr qui est maintenant acquis tous les jours .
Une habitude d’opération.
Le cerveau est attaché à cette situation confortable où il a tout ce dont il a vraiment besoin.
Mais dans cette zone de confort, tu ne perds pas un peu d’adrénaline ?
Parce que l’adrénaline est également reconnue comme nécessaire, à petites doses. Il est utile pour notre survie et notre bonne santé, en nous donnant une énergie vitale et enthousiaste.
Il nous donne sentiments essentiels de force et de vigueur.
Et nous nous habituons aussi à faire face à l’inconnu et aux dangers .
La recherche d’adrénaline
Certaines personnes vivent dans la poursuite perpétuelle de l’adrénaline, ils doivent dépasser les limites que possible dans les sports extrêmes ou les activités dangereuses.
Beaucoup d’entre nous recréer un flux d’adrénaline à travers des émotions , ou de fausses situations stressantes comme regarder un film d’horreur.
😉 Nos anciens réflexes restent profondément enracinés en nous, quand il s’agit d’automatismes mentaux face à des situations réelles ou imaginaires de stress, nous sommes toujours des hommes préhistoriques…
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alimenté par une bonne dose d’adrénaline ! En fait, ce besoin naturel L’adrénaline est souvent remplie de nouvelles contraintes dans le style de vie occidental : performance et succès, tant pour le côté privé que pour le côté professionnel.
L’ échec et le sentiment d’impuissance sont perçus par notre cerveau comme une menace pour notre survie, nous donnant l’adrénaline nécessaire pour agir.
Cependant, il y a une limite qui ne devrait pas dépasser. Le traverser nous fait changer les conséquences du mauvais stress et son impact sur notre santé.
L’ adrénaline en temps de crise
Dans les premiers jours, la situation de crise et de confinement de Covid-19 nous donne en partie cette dose nécessaire d’adrénaline.
Une dose d’éveil et d’attention animée par des moments d’insécurité et d’incertitude.
Une dose utile pour se déplacer et organiser.
Une dose d’entraide, de solidarité, de réaction et préparation à faire face aux dangers.
Malheureusement, nous ne voyons pas la fin du confinement et la pandémie…
Ce contexte d’incertitude persiste et provoque un mauvais stress .
En outre, l’infodémie qui en résulte, cette surabondance d’informations diverses nous provoque encore plus de craintes, voire une perte de sens .
Tous les agents de santé qui doivent faire face à la situation en première ligne en subissent les conséquences.
Mais aussi toutes les personnes confinées au stress à la maison. Et tous les entrepreneurs qui voient leur entreprise s’écraser.
Le côté nocif à long terme
Dans celui-ci, il semble clair qu’il est intenable, et beaucoup de gens atteignent la limite où il devient une surdose d’adrénaline nocive, entraînant des répercussions sur la santé mentale et la physique .
Ce mauvais stress nous met dans un état constant de fatigue , affaiblissant notre corps et notre raisonnement.
C’ est le côté paradoxal du stress : Un peu d’adrénaline est favorable, mais trop d’adrénaline est nocive.
Solutions…
En travaillant sur nos habitudes quotidiennes, il est possible de contrer une grande partie du stress problématique.
Comme pour faire face à l’incertitude, les bonnes habitudes à mettre en place contre le stress affectent notre santé mentale et physique, notre conscience et nos actions quotidiennes.
Nous devons réhabituer notre cerveau à sortir de sa zone de confort (à l’exclusion de la crise) et à réapproprier les situations d’adrénaline nécessaires. Faire des choses simples en pleine conscience : manger, s’habiller, se déplacer.
Vous devez vous rendre compte que tout cela ne provient pas de la source. Nourrir notre corps et notre esprit est le cœur d’une lutte quotidienne. Nous avons survécu en développant des compétences concrètes, entraînées par une bonne dose d’adrénaline.
De même, avoir une bonne santé mentale et physique ne provient pas de la source, se développe et maintient. La prise de conscience est une bonne habitude d’adopter !
Sources : Article de Luc Bonnevile sur les dangers de « infodemia », abondance d’informations pendant la covid-19 Article Bénédicte Salthun-Lassalle sur le chemin de survie du cerveau stressé Article « Comment l’adrénaline nous augmente ont-ils affectent ? », Nos pensées Article « Adrénaline : Hormone de performance et activation », Nos pensées
Merci pour les photos @lucas Favresurunsplash
